Le FC Metz prend cette année un fort accent sud-américain comme aux plus belles années du club avec l'arrivée sur les bords de la Moselle de Faryd Mondragon le gardien international colombien et du jeune et prometteur argentin Patricio D'Amico.
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Le FC Metz prend cette année un fort accent sud-américain comme aux plus belles années du club avec l'arrivée sur les bords de la Moselle de Faryd Mondragon le gardien international colombien et du jeune et prometteur argentin Patricio D'Amico.
Dominer n'est pas gagner, les messins en ont fait la triste expérience ce soir en s'inclinant sur le plus petit écart possible contre les voisins Bourguignons.
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Dominer n'est pas gagner, les messins en ont fait la triste expérience ce soir en s'inclinant sur le plus petit écart possible contre les voisins Bourguignons.
Dans ce match des mal-classés, les deux équipes n'ont pu se départager dans un match où les deux formations ont fait le jeu à tour de rôle. Paralysés par l'enjeu et la pression, les Messins ont sombré en première mi-temps avant de se racheter en seconde période.
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Dans ce match des mal-classés, les deux équipes n'ont pu se départager dans un match où les deux formations ont fait le jeu à tour de rôle. Paralysés par l'enjeu et la pression, les Messins ont sombré en première mi-temps avant de se racheter en seconde période.
Peu en jambes, à la peine face à des Nantais pratiquant un jeu alerte à une touche de balle, les messins se sont inclinés à la Beaujoire 2 à 0 : ils ont logiquement cédé sur un coup de pied arrêté dès la 25ème minute pour finalement craquer à l'ultime minute de jeu.
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Peu en jambes, à la peine face à des Nantais pratiquant un jeu alerte à une touche de balle, les messins se sont inclinés à la Beaujoire 2 à 0 : ils ont logiquement cédé sur un coup de pied arrêté dès la 25ème minute pour finalement craquer à l'ultime minute de jeu.
Metz - Lens. Les esprits chagrins évoquaient avant la rencontre, tantôt avec malice, tantôt avec résignation, un énième remake de "Mission Impossible", tant les dernières rencontres avaient tourné à l'avantage des "Sang et Or".
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Metz - Lens. Les esprits chagrins évoquaient avant la rencontre, tantôt avec malice, tantôt avec résignation, un énième remake de "Mission Impossible", tant les dernières rencontres avaient tourné à l'avantage des "Sang et Or".
Saint-Etienne a remporté samedi soir, son premier match de l'ère Toshack et son troisième succès dans son jardin de Geoffroy Guichard, mettant fin ainsi à une période de disette.Cette victoire acquise grâce à deux buts signés Mettomo et Alex devrait relancer les Verts après une série de sept matchs sans succès.
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Saint-Etienne a remporté samedi soir, son premier match de l'ère Toshack et son troisième succès dans son jardin de Geoffroy Guichard, mettant fin ainsi à une période de disette.Cette victoire acquise grâce à deux buts signés Mettomo et Alex devrait relancer les Verts après une série de sept matchs sans succès.
Deux défaites consécutives (contre Monaco et à Bastia), une infirmerie bien pleine (Stéphane Morisot, Geoffrey Toyes, Christophe Borbiconi et Philippe Gaillot), le message est clair : Metz se doit de redresser la tête et compte bien s'imposer face au voisin Troyen, en pleine confiance et qui reste sur deux victoires.
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Deux défaites consécutives (contre Monaco et à Bastia), une infirmerie bien pleine (Stéphane Morisot, Geoffrey Toyes, Christophe Borbiconi et Philippe Gaillot), le message est clair : Metz se doit de redresser la tête et compte bien s'imposer face au voisin Troyen, en pleine confiance et qui reste sur deux victoires.
La belle série messine s'est arrêtée samedi soir à Saint Symphorien contre le champion en titre, l'AS Monaco.
Une sévère défaite sur le strict plan comptable, aux conséquences limitées quant au classement, mais paradoxale tant les grenats ont su imposer leur jeu durant la première heure de jeu.
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La belle série messine s'est arrêtée samedi soir à Saint Symphorien contre le champion en titre, l'AS Monaco.
Une sévère défaite sur le strict plan comptable, aux conséquences limitées quant au classement, mais paradoxale tant les grenats ont su imposer leur jeu durant la première heure de jeu.
Metz-Strasbourg : l'affiche était certes alléchante pour cette sixième journée de championnat, mais le stade Saint Symphorien ne faisait pas le plein hier soir (16000 spectateurs).
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Metz-Strasbourg : l'affiche était certes alléchante pour cette sixième journée de championnat, mais le stade Saint Symphorien ne faisait pas le plein hier soir (16000 spectateurs).
